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Mobilisation 67 : les lycéens engagés

Mobilisation 67 : les lycéens engagés
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17 février 2009

Mobilisation dans l'éducation le 19 février !

Mobilisation générale de l'éducation : lycéens, étudiants et enseignants le 19 février dans toute la France !

A Strasbourg, la manifestation partira jeudi 19 février à 15h00 devant la fac de droit (place rouge).

La casse de l'éducation nationale, que ce soit dans le primaire, le secondaire ou le supérieur : CA SUFFIT.

Notre génération a droit un meilleur avenir, qui commence par une éducation de qualité pour tous. Stop aux suppressions de postes de profs, aux suppressions d'options, aux dégradations de la qualité d'enseignement et d'études, à la précarité de plus en plus de lycéens et de jeunes !

Alors jeudi, tous les jeunes doivent se mobiliser pour que ce gouvernement cesse sa politique de casse de l'éducation !

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28 janvier 2009

Manifestations le 29 janvier 2009 à Strasbourg, Haguenau, Molsheim et tout le Bas-Rhin

Mobilisation générale des salariés, étudiants, lycéens, parents d'élèves... pour les manifestations du 29 janvier 2009 dans tout le Bas-Rhin (67) !

Manifestation Jeudi 29 janvier 2009 à 15h00 Place de la Bourse à STRASBOURG (67)

Manifestation Jeudi 29 janvier 2009 à 8h00 au lycée Robert Schuman à HAGUENAU (67)

Manifestation Jeudi 29 janvier 2009 à 9h30 Place de la Gare à MOLSHEIM (67)

Mobilisation de tous les jeunes, salariés et retraités pour que le gouvernement n'abandonne pas les plus démunis et qu'il apporte de vrais réponses aux problèmes que rencontre notre pays aujourd'hui !

11 janvier 2009

Manifestation contre la casse de l'éducation le 17 janvier 2009 à Strasbourg

Manifestation samedi 17 janvier 2009, départ à 15h00 Place Kléber à Strasbourg (67)


STOP à la casse de l'éducation !


Cette année, c’est 13 500 suppressions de postes de professeurs, dont 210 pour Strasbourg. De 2002 à 2012, ça fera plus de 140 000 suppressions de postes dans l’éducation nationale !
Ajoutons à cela la suppression de la carte scolaire, la suppression massive de surveillants, la suppression de nombreusesKoptions et la réduction de la filière professionnelle.

Pour la grande majorité des élèves, il ne restera qu’un enseignement au rabais dans des classes surchargées, tandis que seuls quelques uns, ceux dont les parents auront les moyens de payer un enseignement de qualité à leurs enfants, pourront encore bénéficier d’une éducation de qualité. Et tout ça pour réaliser des économies, pour financer les baisses d’impôts pour les plus riches…

Alors que la France connait une grave crise économique, que le chômage ne cesse d’augmenter et que les salaires stagnent, l’école est le dernier endroit où chacun peut construire son avenir, quelque soit ses origines sociales. Si on détruit l’école, que nous restera-t-il ?

Ne nous laissons pas faire, dites STOP à la casse de l’éducation !

Participe à la manifestation avec les enseignants le
 samedi 17 janvier à 15h00 Place Kléber

9 janvier 2009

Manifestation du 08/01/2009

Malgré le froid, les lycéens sont venus se mobiliser à Strasbourg pour protester contre la casse de l'éducation !
Reportage sur France 3 Alsace :


Le MJS67 manifeste contre la casse de l'éducation 08.01.2009
envoyé par mjs-67

Source : www.mjs67.org

Envoyez nous vos vidéos dans les commentaires !

5 janvier 2009

Manifestation le jeudi 8 janvier 2009 à Strasbourg !!!

Manifestation jeudi 8 janvier 2009, départ à 14h00 Place Kléber à Strasbourg (67)


STOP à la casse de l'éducation !


Cette année, c’est 13 500 suppressions de postes de professeurs, dont 210 pour Strasbourg. De 2002 à 2012, ça fera plus de 140 000 suppressions de postes dans l’éducation nationale !
Ajoutons à cela la suppression de la carte scolaire, la suppression massive de surveillants, la suppression de nombreusesKoptions et la réduction de la filière professionnelle.

Pour la grande majorité des élèves, il ne restera qu’un enseignement au rabais dans des classes surchargées, tandis que seuls quelques uns, ceux dont les parents auront les moyens de payer un enseignement de qualité à leurs enfants, pourront encore bénéficier d’une éducation de qualité. Et tout ça pour réaliser des économies, pour financer les baisses d’impôts pour les plus riches…

Alors que la France connait une grave crise économique, que le chômage ne cesse d’augmenter et que les salaires stagnent, l’école est le dernier endroit où chacun peut construire son avenir, quelque soit ses origines sociales. Si on détruit l’école, que nous restera-t-il ?

Ne nous laissons pas faire, dites STOP à la casse de l’éducation !

Participe à la manifestation le
 Jeudi 8 janvier à 14h00 Place Kléber

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19 décembre 2008

Plus de 1500 lycéens en Alsace !

DNA :
"Quelque quatre-vingts lycéens ont défilé à Mulhouse, une première depuis le début du mouvement. A Guebwiller, ce sont près de 300 élèves des lycées Théodore-Deck, Kastler et Storck qui sont descendus dans les rues. A Colmar, 400 élèves ont dit leurs craintes. Les lycéens de Camille-Sée, qui ont choisi les options artistiques dont ils redoutent la suppression, étaient les plus nombreux, rejoints par ceux de Blaise-Pascal. Au lycée Bartholdi, les manifestants ont trouvé les grilles fermées. A Strasbourg, une centaine de lycéens se sont rassemblés place de la Bourse. L'initiative serait venue du Mouvement des Jeunes Socialistes (MJS). Des manifestations ont rassemblé 600 jeunes à Molsheim, environ 200 à Barr."

20 minutes :
"Environ 600 lycéens ont manifesté hier matin à Molsheim pour protester contre
les réformes du ministre de l’Education, Xavier Darcos. Dans l’après-midi, un autre
défilé a réuni un peu plus de 200 manifestants à Strasbourg. Le cortège a quitté la
place de la République vers 14 h 30 pour se rendre au rectorat de l’Académie, rue
de la Toussaint. Face au bâtiment, les élèves ont donné de la voix en criant : « A ceux
qui veulent supprimer des postes, les jeunes répondent résistance. »"

AFP :
"En Alsace, environ 1.500 lycéens au total ont défilé jeudi dans une dizaine de villes lors d'une mobilisation apparemment spontanée, sans aucune banderole de l'UNL ni de la Fidl. Aucun établissement n'était bloqué dans l'académie, selon le rectorat. Des manifestations ont rassemblé 600 lycéens à Molsheim (Bas-Rhin), environ 200 lycéens à Barr (Bas-Rhin), entre 200 et 300 à Strasbourg, 150 à Guebwiller (Haut-Rhin) et une centaine à Mulhouse (Haut-Rhin), selon la police et les gendarmes."

France 3 :
http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=b67a_1920&video_number=0

19 décembre 2008

Manifestation 16 novembre 2008 à Molsheim contre Darcos

Manifestation 16 novembre 2008 à Molsheim contre Darcos
Vidéo envoyée par zupac67

Manifestation du mardi 16 novembre à Molsheim contre la réforme Darcos, les suppressions de postes et la casse de l'éducation nationale.      

http://91.121.138.155/manif_molsheim/   
http://mobilisation67.canalblog.com/

18 décembre 2008

Rassemblement à Strasbourg !

Un rassemblement lycéen a lieu à Strasbourg ce jeudi 18 décembre 2008 à 14h30 Place de la République.

Montrons au gouvernement que la jeunesse ne laissera pas brader son éducation et son avenir !

17 décembre 2008

"Les lycéens passent la seconde"

 

"Les lycéens passent la seconde

Seuls en Alsace, près de 500 lycéens des trois     établissements molshémiens ont défilé hier matin     dans les rues du centre-ville de Molsheim. Comme d'autres en France, ils demandaient     l'annulation de la réforme du lycée présentée     par Xavier Darcos.

 

« Et on va où maintenant ? » C'est sans doute     la question la plus entendue hier matin dans la cortège des lycéens     de Molsheim. D'abord regroupés devant le lycée Henri-Meck, dès     8h, les premiers manifestants, encadrés par deux membres des MJS (*),     ont vite été rejoints par d'autres lycéens venus de Louis-Marchal,     puis de Camille-Schneider. « Et là, ils ont déjà     eu un peu plus de mal à contenir le groupe », fait remarquer     un professeur, sagement retranché derrière les grilles du lycée.     Au plus fort de la matinée, environ 500 lycéens (1 250 selon     les organisateurs) se sont mobilisés, « alors qu'on en attendait     300 maximum », explique Maxime Munschy, organisateur et secrétaire     du collectif fédéral des MJS, et affilié à l'UNL     (**).

 

La circulation
    momentanément bloquée

 

Peu importe, vers 10h30, le groupe s'ébranle, direction     « le Camille, le Camille », dans une ambiance frigorifiée,     mais bon enfant. Les manifestants étaient dûment escortés     par les gendarmes de la brigade de Molsheim, qui ont joué à     cette occasion le rôle de cordon de sécurité, visiblement     pas prévu par les jeunes leaders. Aux cris de « Darcos, t'es     foutu, la jeunesse est dans la rue », les lycéens ont vite déboulé     sur la rue de la Gare, bloquant momentanément la circulation, devant     l'oeil placide, et même parfois complice, des automobilistes. Quelques     klaxons de soutien ont même été entendus.
    Une fois arrivés au lycée Camille-Schneider, et entrés     en force dans la cour du lycée, les manifestants découvrent     désappointés que de renfort, il n'y aura point. « Ils     sont tous en stage ou déjà à manifester, nos élèves     », commentait un brin moqueuse une CPE. Demi-tour donc, jusqu'au lycée     Louis-Marchal, ou à peu près le même scénario se     reproduit. Re demi-tour, jusqu'à la sous-préfecture, même     s'il n'y a plus de sous-préfet pour l'instant. « C'est pour le     symbole », commentera un gendarme.
    Autre symbole, autre rendez-vous manqué : le maire de Molsheim, absent     de sa mairie. Les responsables lycéens ont donc finalement remis leurs     revendications au directeur général des services, Jean-Sébastien     Kouzmin, qui transmettra. Pendant ce temps-là, et contrairement aux     consignes données, le groupe a déserté la place de l'Hôtel-de-Ville,     direction Henri-Meck, pour se dissoudre enfin. Hier soir, les responsables     devaient se réunir, pour éventuellement décider de recommencer     jeudi.

 

    « On veut l'annulation »

 

Point de banderoles hier matin dans les rangs des manifestants     lycéens. Et comme à chaque fois, beaucoup n'avaient qu'une idée     très floue des revendications portées par leur cortège.
    Malgré tout, certains se sont révélés très     remontés contre le projet de réforme du lycée de Xavier     Darcos. « C'est n'importe quoi cette histoire de tronc commun, avec     juste quelques matières pour différencier les branches... Après,     le bac, il ne vaut plus rien. Si tout le monde a le même, il n'y a plus     d'élite », a ainsi expliqué Camille, en terminale S au     Henri-Meck. Le report de la réforme des secondes à la rentrée     2010 (et non 2009, comme annoncée initialement) n'émeut pas     les militants socialistes comme Maxime Munschy, à l'origine de la manifestation.     « Nous, on veut l'annulation. Et il n'y a pas que la réforme     des programmes. Nous sommes aussi contre les 11 200 suppressions de postes     de professeurs. »

 

    J.R.
    - Voir aussi les DNA de mardi.
    (*) MJS: mouvement des jeunes socialistes.
    (**) UNL: union nationale des lycéens.

 

Édition du Mercredi 17 décembre 2008"

17 décembre 2008

Quand la police censure deux photographes de l'AFP

"Jpkpolice PRESSE - L'intersyndicale et la société des journalistes (SDJ) de l'Agence France presse ont publié mercredi des communiqués pour protester après que deux de ses journalistes ont été empêchés de travailler, mardi, par des CRS et des policiers. Les deux photographes suivaient une manifestation lycéenne de faible ampleur dnas le centre de Lyon. "Dès le début, raconte Jean-Philippe Ksiazek, des gradés nous ont dit qu'on ne pouvait pas faire de photos cette fois, que c'était interdit. J'ai montré une carte de presse et une policière a pris toute mon identité, très longuement, puis elle m'a dit de me tenir à l'écart car c'était interdit de photographier, pour des questions de droit à l'image des policiers"...

La cinquantaine de lycéens se trouvant place Bellecour a ensuite été chargée par les CRS. "J'ai alors fait mon métier", poursuit le photographe. Mais un policier lui aurait fait une clef de bras pour le conduire à une voiture. Le deuxième photographe, Frédéric Dufour, également salarié de l'AFP, s'est retrouvé dans le même temps bloqué contre un mur, une matraque sous le cou. "Ils m'ont demandé mon appareil, continue Jean-Philippe Ksiazek. J'ai bien-sur refusé. Ils me l'ont arraché et ont effacé les photos et la disquette".

Pour l'intersyndicale (CFDT, CGC, FO, SAJ-Unsa, SNJ, CGT et Sud) de l'AFP, il s'agit d'un "acte de censure intolérable dans une démocratie" et d'une "atteinte grave à notre mission et au droit à l'information pour tous les citoyens". (...) Le comportement des policiers, juge-t-elle, "n'est que le reflet d'une volonté, au plus haut niveau, d'étouffer les mouvements sociaux et leur retransmission dans les médias". L'intersyndicale appelle la direction de l'AFP à "déposer une plainte contre ces agissements qui portent atteinte à la liberté de travailler".

Dans un communiqué séparé, la SDJ "s'inquiète de ces énièmes entraves à la liberté de la presse, à un moment où s'accumulent les pressions de responsables politiques de tous bords envers les journalistes".

Olivier BERTRAND

Photo (DR) : Deux policiers neutralisent Jean-Philippe Ksiazek"

Source : Libération

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